MANDALA THÉRAPEUTIQUE*
Objet de culte sacré, de méditation, le mandala fut introduit en psychologie par Carl Gustav Jung.

*Ces ateliers, que je co-anime, ont été crées par ma compagne Catherine Thomazon depuis plus d'une dizaine d'années.

Qu'est-ce qu'un mandala ?

Le mot « Mandala » désigne, à l’origine, les dessins en cercle réalisés par les moines bouddhistes, supports de méditation et d’expression du sacré. C’est un mot sanskrit qui veut dire « cercle, centre, unité, totalité ». Il s’exprime dans un dessin circulaire, convergeant vers un centre porteur d’infini. Dans la tradition orientale, le cercle représente le  »Divin », sa manifestation, sa création.
Depuis des milliers d’années, la création et la contemplation de mandalas sont utilisées soit pour la méditation en tant que rituel sacré chez les moines bouddhistes, soit en tant qu’outil thérapeutique pour se découvrir soi-même et se guérir comme chez les chamans amérindiens.
Stress, éparpillement, angoisses…Ces diagrammes représentant l'univers tout entier dans les traditions indiennes et tibétaines - peut nous aider à nous recentrer, à nous apaiser. Ce temps de concentration, qui laisse à l’inconscient la possibilité de s’exprimer par des images et des symboles est un outil de connaissance de soi. Par la paix que procure sa réalisation, il nous rapproche de l’harmonie.

En quoi le mandala thérapeutique est-il bénéfique ?

  • Il aide à la prise de conscience des zones d’ombre,
  • Il aide à la relaxation,
  • Il améliore notre capacité à nous concentrer,
  • Il fait partie de la méditation de pleine conscience,
  • Il réduit les niveaux de stress et d'anxiété,
  • Nous laissons notre partie rationnelle se reposer,
  • Il aide à exprimer et identifier des émotions,
  • Il favorise l'acceptation personnelle et la connaissance de soi,
  • Il encourage la créativité,

PROCHAIN ATELIER LES 6 & 7 JUIN 2020

Thème travaillé : La résilience
«Il devint de plus en plus évident pour moi que le mandala est le centre. C’est le modèle de toutes les voies. C’est la voie qui mène au centre, à l’individuation »
Carl Gustav JUNG